Je conçois les photographies de mariage comme un héritage visuel.
La question à se poser dès lors n’est pas tant ce qu’il faut absolument photographier, mais plutôt ce qui n’a pas besoin de l’être.
Ainsi on accède au cœur des choses.
On met en lumière ce qui n’est point remarqué.
On révèle ce qui fait sens.
On crée un point d’ancrage entre l’espace et le temps.